Ô douce mélopée envahis
Mon corps sournois d’une envie banni
D’un souffle léger au couleur biaisé
Mon corps se meurt loin de toi
Ô ma fleur de délicatesse
À quand nos ébats
Retrouvant l’œil bassesse
Dans un souffle soupirant merveille
Dans un linge mouillant nos corps
Réchauffer par nos ardeurs
Ô toi douceur enfiévré
De ta poitrine raffiné
Laisse moi devenir
Ton apogée, ton silence, ta croix
Donne moi encore l’envie de toi
Chaque jour passent sans un bruit
Ou je m’enferme loin de ton corps
Ma troublante apparition
Mon corps sournois d’une envie banni
D’un souffle léger au couleur biaisé
Mon corps se meurt loin de toi
Ô ma fleur de délicatesse
À quand nos ébats
Retrouvant l’œil bassesse
Dans un souffle soupirant merveille
Dans un linge mouillant nos corps
Réchauffer par nos ardeurs
Ô toi douceur enfiévré
De ta poitrine raffiné
Laisse moi devenir
Ton apogée, ton silence, ta croix
Donne moi encore l’envie de toi
Chaque jour passent sans un bruit
Ou je m’enferme loin de ton corps
Ma troublante apparition